Sous la lanterne au carrefour – comment passer du tempshommes provinciaux

Пн, 02 мар 2015 Автор: Екатерина
Терещенкова
В каждом городе есть особые места: там парни
avoir des dates, et de vieux amis ont le temps de se voir après
longue séparation. Là, les gens se réjouissent et pleurent, attendent pendant des heures. L�
Apprenez à connaître et à partie pour toujours. Et aussi, ils se rencontrent là pour
prendre un verre Quoi qu’il en soit, l’essentiel est d’être avec qui.

Il y a un carrefour remarquable dans notre ville. Non si
vous pensez qu’il y a quelque chose d’important à côté ou sur elle
quelque chose de spécial est arrivé – alors vous vous trompez. C’est tout à fait un
intersection ordinaire. Le lieu de rendez-vous et les dates de tous ceux qui aiment boire
population locale.

Mon chemin vers l’école a traversé précisément cette intersection, un autre
il n’y avait pas de route et je l’ai surveillé pendant 11 ans. Presque quotidiennement
et par tout temps ils se sont tenus dessus. Alcooliques locaux: parfois
entreprises de 5 à 10 personnes, parfois en couple, parfois manquantes
seul C’est comme “sous l’horloge” dans une grande ville, seulement ici – sous
lanterne faible et branlante.

D’année en année, j’ai suivi l’évolution de leur vie. L’hiver Printemps
Été Automne Hiver … tous les mêmes brasseries de carburants, achetées au local
samogony. Le temps a passé: j’ai étudié, vécu, fait quelque chose, quelque part
est retourné. Et ils ont continué à se rencontrer dans leur
lieu inchangé “sous la lanterne à l’intersection.” Ragged. Sale.
Parfois avec des mains tremblantes. Différents âges: quelqu’un de plus jeune
quelqu’un de plus âgé, mais l’essence est inchangée.

J’ai même rencontré certains d’entre eux (je ne vois rien
honteux est de parler à un homme qui, par
l’opinion publique est “au-delà de la ligne”). Certains d’entre eux je
savaient même avant leur proche connaissance avec un liquide inflammable transparent.
Et j’en connais juste en face. Mais le plus souvent rencontré de nouvelles
les visages.

Les gens qui viennent à l’intersection, la plupart du temps nulle part
ils travaillent, et s’ils travaillent, alors jusqu’au premier chèque de paie, après quoi
Il y a toujours une période de joie universelle et sans limites
bonheur – boire dur. Pourtant, en tant que source de revenu supplémentaire, ils ne
n’aiment pas utiliser la pension de leurs vieux parents. Et parfois
gagner en plus: pour une bouteille ou deux de vodka pas cher, ils vont construire une grange,
nettoiera le foin, dispersera le fumier, etc. Des hôtes locaux perspicaces
les utiliser comme main-d’œuvre saisonnière bon marché, ce qui même
l’alimentation est facultative.

En Russie, ils ont toujours beaucoup bu. À l’occasion et sans incident. Mais quand même
pour boire, au moins un peu, mais besoin d’une raison. Même pas
thé que vous pouvez boire toute la journée simplement parce que
l’appartement a éteint le chauffage et terriblement froid.

Mais pourquoi ces hommes boivent-ils constamment? Tous les jours
Alcoolisme? Est-ce ennuyeux Pas de lumière pour aller? Est-ce que tout le monde boit?
Les camarades ne comprendront pas? Je connais les causes de l’ivresse de certains d’entre eux (ou
juste deviner). Quelqu’un a traversé l’Afghanistan et la Tchétchénie et, à son retour,
alors il n’y avait pas de fonds pour l’aide psychologique ex
le militaire. Et plus encore dans une ville de cette province. Eux et
pas maintenant. Mais au milieu de ces “rassemblements”, il y a une totale
les gens ordinaires – “non affecté”. Quel est le problème avec eux? �”Spree femme
– J’irai mieux saoul! “? �”Il n’y a pas d’argent pour toujours, c’est pareil de cette boue
не вылезешь – J’irai mieux saoul! “? �”Le travail n’est pas raisonnable, sur
Dans cette usine, vous travaillez 12 heures, et vous et la bonne parole, personne
скажет – J’irai mieux saoul! “? �”Il n’y a rien – va mieux
se saouler! ”? �”Mère scie:” les gens ont des enfants comme des enfants, et vous, ce que j’ai
alors mes yeux ne te verraient pas. ” Aw, écoutez tout cela pour toujours –
пойду лучше se saouler! ”? «Je suis toujours un alcoolique. Je ne suis pas de ça
выбраться, что зря стараться – J’irai mieux saoul! “? Donc ils
vivre Parfois des familles entières.

Une génération en remplace une autre: un lieu saint n’est jamais vide. Et
l’éternelle lanterne au carrefour attire les jeunes amoureux
�”Quelque chose juste pour aucune raison de boire.” Et они туда приходят.
Avant, quand je suis allé à l’école par cette intersection, j’ai vu
une compagnie “adulte” de buveurs. Maintenant, c’est devenu un lieu de rencontre.
deux sociétés: l’intersection est divisée entre l’ancien groupe
les anciens et un groupe de nouveaux arrivants – lycéens et jeunes de la région
les gars. Plus souvent, ils se produisent à des moments différents (hmm … probablement ils
il y a un horaire – pour chaque entreprise son heure), et parfois
s’intégrer (probablement pour transférer de l’expérience). Moi
des réunions de masse similaires sont alarmantes.

Pourtant, je ne suis pas de ceux qui aiment lire la “morale” et pour notre morale
Je ne m’inquiète pas pour la jeune génération, mais … Oui, tant qu’ils sont en poste
le sivukha n’a pas été traversé, mais ils ont été interrompus par une bière bon marché. Mais! Et ils viendront
le temps (ça a l’air terrible, mais c’est comme en chirurgie: ça fait mal, mais rien
changez-le). Tôt ou tard, l’un d’entre eux ne le trouvera pas quand même
plus de force pour faire face aux problèmes (et dans la province il y en a beaucoup) et
viendra sous la lanterne au carrefour. Avec une bouteille cachée sous sa poitrine
vodka ou moonshine d’attendre au moins quelqu’un avec qui vous pouvez
ce serait un verre et verser sa part amère.

PS: Si vous pensez que dans notre pays la situation avec le général
l’alcoolisme évolue pour le mieux – alors, désolé pour
impolitesse, retard métropolitain aveugle.

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